De temps en temps, un ami nous propose un texte comme base de réflexion et de discussion.
C’est ainsi que l’un de nos paroissiens nous envoie un article reprenant des extraits d’une prédication prononcée à Paris en 1849 par Adolphe MONOD, alors pasteur de l’Eglise réformée à Paris Oratoire du Louvre, qui, suggère-t-il, pourrait nous être utile dans le cadre de la réflexion sur la nouvelle déclaration de foi de l’Église Protestante Unie de France,
Cet article a été publié sur le site des Attestants, un courant minoritaire à l’intérieur de l’Église Protestante Unie de France, lancé en juin 2015 et aspirant « à devenir un ferment de renouveau ou de réveil de l’Eglise, en rendant aux Ecritures bibliques leur caractère souverain pour la foi et la vie ».
Adolphe Monod (1802-56) faisait partie d’une des familles les plus célèbres du protestantisme français; il fut pasteur titulaire à Paris à partir de 1849. Une visite au site internet de l’Oratoire du Louvre, et à son excellent blog, Lab’Oratoire, permettra de mesurer le chemin parcouru depuis le milieu du XIXe siècle.
Vous pourrez réagir à cette publication, la partager sur les réseaux sociaux, signaler votre appréciation en cliquant sur le bouton « J’aime », ou la commenter en utilisant les boutons ci-dessous.
Écrites par un autre, d’aucuns jugeraient ces pages excessives, rétrogrades …
mais écrites sous la plume d’Adolphe Monod, cela leur donne un poids que nul ne peut regarder comme négligeable.
Ainsi, nous redécouvrons à cette lecture ce que fut la foi de l’Eglise réformée en France, et nous cessons de rougir de ce mot ‘réformé’ qui, malheureusement, est devenu synonyme, pour beaucoup, d’atténuation manifeste de la foi, parfois jusqu’à la rendre méconnaissable.
Alors que nous sommes appelés à réfléchir à la rédaction de « la nouvelles déclaration de foi » de l’Église Protestante Unie de France, il est bon de redécouvrir ce que « nos Anciens » disaient de la foi … bonne lecture .. et n’hésitez pas à partager ici vos réactions 😉
J’aimeJ’aime
Ce texte est complétement dépassé. Il faut se souvenir qu’Adolphe Monod a été destitué le 19 mars 1832 de son poste dans l’église réformée. Et je pense qu’à l’heure actuelle la Commission des ministères ne l’aurait pas admis comme pasteur de l’Eglise Protestante Unie.
J’aimeAimé par 1 personne
Je note, en lisant la note biographique de l’Oratoire du Louvre sur A.Monod qu’il a « commis l’erreur lorsqu’il était à Lyon ‘de vouloir transposer le seizième siècle dans le dix-neuvième’, comme l’a remarqué l’un de ses propres amis, J. Pédézert. »
Ce serait également une erreur, sans doute, de vouloir transposer le dix-neuvième siècle dans le vingt-et-unième!
J’aimeJ’aime